Soldes avant fermetures estivales 4 (de l’Europe puisqu’il en faut)

Encore un aspect de ce que le politiquement socialement correct impose. Après le respect obligatoire envers l’islam et autres fanatiques religieux, aux LGBT et surtout la communauté revendicatrice et intolérante, il y a l’obligation impérieuse d’être pro UE. Ne pas considérer le pouvoir de Bruxelles ou de Strasbourg comme indiscutable. Il faut soutenir la sciatique junkerienne et la course merkelienne ainsi que les délires jupiteusiens. Il est de très mauvais ton de ne pas être pour l’union européenne et d’ailleurs aucun politicien sérieux, en France, n’appelle à sortir de l’Europe (UE) à l’exception du marginal UPR. L’union européenne et l’euro sont donc les gages de la paix, du bonheur, de l’opulence et de la tolérance entre les peuples. Mouais…. Comment croire encore à ce type de propos? La paix en Europe géographique est quasiment, effectivement, factuelle depuis la création de l’UE, toutefois, il est étonnant de constater que les budgets militaires n’ont jamais été en proportion si importants et le nombre de conflits dans le monde avec des intervenants unionistes, jamais aussi haut. En gros, l’UE est en conflit permanent mais à l’extérieur de l’espace Schengen. Cela coûte encore plus cher qu’avant mais comme ça n’est pas chez nous, tout va bien madame la marquise.

Le bonheur unioniste se traduit, lui aussi, tous les jours factuellement. L’écart entre les plus riches et les classes moyennes ne fait que grandir en raison de la spoliation des richesses par le fameux 1% du très haut, qui en réalité sont encore moins que cela, mais ce capitalisme effréné est source de bonheur pour tous apparemment. Seuls, ceux qui refusent ce bonheur capitaliste souffrent dans l’UE et sont d’ailleurs considérés comme des punks à chiens. « T’es pas heureux? c’est que tu ne le veux pas… Tu te mets volontairement en marge de la société… C’est ta faute ».

L’opulente union européenne qui vit en récession depuis quelques temps déjà, qui est en crise depuis toujours en fait et qui entraîne les pays et les peuples vers un abîme toujours plus profond (Cf la Grèce). Certes, les pays du sud ne sont pas exempts de reproches mais la fameuse protection que devait apporter la fameuse union est tout de même très largement discutable.

Enfin, la tolérance entre les peuples qui devait se forger autour de cette union et qui apparaît, chaque jour, de plus en plus, fragile avec la crise des migrants. Tout le monde constate la montée des « populismes » et des « nationalismes », le mal!!! les heures les moins claires!!! Mais d’où viennent ces sentiments? Les politiciens avaient promis que l’UE allait changer nos vies. Ce fut le cas. Malheureusement vers le bas et, en fait, il y a énormément de dépit amoureux dans ce désamour, parce que l’UE n’est plus qu’un système mafieux qui ne fonctionne que sur cooptation et pour ses membres. Les peuples n’existent plus, ils sont niés. Les cultures, les langues, les coutumes sont rejetées alors qu’elles sont les balises, les repères que tout humain réclame pour se construire et se sentir appartenant à une unité. C’est sur des valeurs communes respectées que de nombreux pays se sont construits et c’est sur ces valeurs que l’UE aurait dû se construire or ce ne fut que pour l’enrichissement de quelques uns et le mépris ou le sentiment de mépris ressenti par les autres.

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