Pensées et discussions de l’aire de nationale (4, 5, 5 bis et 6) ou dialogue de l’auto fou

Pensées et discussions à l’aire de la nationale (4) ou dialogue de l’auto fou

C’est pas que j’aime le couscous mais à force de pédaler dans la semoule, j’ai vraiment l’impression d’avancer à reculons alors les trucs qui ne nous tuent pas bla bla bla… mais ça déglingue la tête quand même et ça rend pas plus fort. Je ne peux même plus bouger tellement mes forces sont parties en vacances. Elles avaient le droit, elles.

Pensées et discussions à l’aire de la nationale (5) ou dialogue de l’auto fou

Avoir moins de face que ça, c’est être transparent. A force de dire le contraire de ce que l’on fait et de faire le contraire de ce que l’on dit, on ne peut pas se plaindre d’aller ailleurs que là où on voulait aller et d’y aller avec quelqu’un d’autre que celui avec lequel on devrait. C’est comme pour tout en fait. Si tu vas à l’encontre de ton cœur, il ne faut pas te plaindre, et quand t’as même pas de cœur, tu écoutes ton cerveau et là, on ne va que de mauvaises surprises en choix catastrophiques. A force de se planter, on finira bien par récolter des radis… ou autre chose.

Pensées et discussions à l’aire de la nationale (5 bis) ou dialogue de l’auto fou

C’est pas parce que tu te prends pour le centre du monde qu’on va aller mieux.

 

 

Pensées et discussions à l’aire de la nationale (6) ou dialogue de l’auto fou

Après la pluie vient le beau temps… Heureusement qu’il était seul Noé parce que sinon, il aurait eu l’air d’un con le gars, qui lui sort ça… A un moment, faut vraiment arrêter de prendre les cons pour des gens, ça épuise et ça rend triste même… Non, ça n’ira pas mieux mais c’est pas pour ça qu’on s’habitue et qu’on démissionne de tout …

 

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